Le 30 septembre, le Lab Ocirp Autonomie s’est penché sur les enjeux sanitaires, économiques et éthiques d’une utilisation de l’IA dans les services autonomie à domicile. Ses applications, concrètes, peuvent améliorer l’accompagnement, tout en soutenant les professionnels.

Dans cette tribune libre*, la chercheuse en sociologie Akiko Awa revient sur le drame d’Honoka au Japon et l’abandon de l’IA dans la protection de l’enfance. Une alerte pour la France : aucun algorithme ne remplacera le lien humain au cœur du travail social.

Des professionnels volontaires se réunissent depuis mars pour co-construire une convention sur l'intelligence artificielle (IA) dans le travail social, sous l'égide de la DGCS et du LaborIA. L'objectif ? Définir les usages de cette technologie en plein essor, sans trahir les fondements de leurs métiers.

L’intelligence artificielle (IA) fascine autant qu’elle fait peur. Le secteur social s’y intéresse de près, et certains professionnels y ont déjà recours. En effet, ces outils pourraient faire gagner du temps et améliorer l’accompagnement des personnes. À condition d’être vigilants sur leurs limites et leurs risques.

Les 13e journées de l'Association nationale des maisons d'enfants à caractère social (Anmecs) ont exploré l'impact du numérique et notamment de l’intelligence artificielle (IA) sur les maisons d’enfants. Quelles sont les promesses et les limites de cette technologie ?