25 ans après, les "ACT" font toujours leurs preuves
Dans les années 1990, faute de réponse de l’État, des appartements sont ouverts par des associations aux personnes séropositives précaires, pour les sortir de la rue et leur assurer un suivi médical. Aujourd’hui, le dispositif est au centre de la politique sociale du logement d’abord et le nombre de places augmente chaque année, pour un public qui a évolué.