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Article13 décembre 2022
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Pour le service public de la petite enfance, un consensus jusque sur les salaires

Avec sa nouvelle concertation sur la petite enfance, le gouvernement espère réunir l'ensemble des parties prenantes dans l'objectif de créer 200 000 places d'accueil. Pour faire face à la pénurie de personnels, de nouvelles réponses ont été apportées au sein du comité de filière.

Après le « bien vieillir » ou le logement, l’heure est venue de « rebâtir du consensus » pour la petite enfance. Cette ambition avait été assignée par le président Macron à l'ensemble de son Conseil national de la refondation (CNR), cette « nouvelle manière de concerter » lancée en septembre. Avec cette dernière thématique, au moins, l’unité devrait se forger aisément autour de l’objectif annoncé : « Construire un service public de la petite enfance ».

200 000 places promises

Attendue du PCF à la droite sénatoriale, en passant par le Conseil économique social et environnemental (Cese), cette garantie d'apporter une réponse à tout besoin de garde d'enfant était une promesse de campagne d'Emmanuel Macron. Dès lors, avec ce « CNR petite enfance », réuni au ministère des Solidarités le 8 décembre, le gouvernement espère bien parvenir à « partager un diagnostic » et à « construire ensemble des solutions », en vue de créer les 200 000 places d’accueil annoncées par Élisabeth Borne en juillet.