En 2022, la Fédération nationale des étudiant.e.s en milieu social (Fnems) avait proposé à ces derniers de répondre à un questionnaire sur leurs conditions d'étude et de vie. La fédération avait alors reçu 500 réponses issues de 71 centres de formation. Leur synthèse faisait remonter des critiques par rapport à la nature des cours, les rythmes de vie, la difficulté de trouver des stages et le manque d'accompagnement, etc.
En ce début d'année, la Fnems remet le couvert mais avec des ambitions accrues : cette fois-ci, les treize formations du travail social (au lieu de cinq en 2022) sont concernées par cette enquête, qui peut être remplie jusqu'au 24 mars 2024.
La présidente de la Fnems, Maude Chantepy, résume ainsi l'ambition de cet appel à contribution : « établir un diagnostic au plus près des problématiques des étudiant.e.s de tous les statuts et de tous les diplômes du travail social afin de défendre les intérêts de ces derniers auprès des pouvoirs publics. »
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