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Article17 décembre 2019
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Dispositifs d’appui à la coordination : une montée en charge à petits pas

Si les agences régionales de santé (ARS) ont trois ans pour mettre en place les DAC, elles ne le font pas au même rythme, et pas toujours avec les mêmes prérequis. Illustrations en Ile-de-France et Pays de la Loire.

DAC pour "dispositif d'appui à la coordination". C’est le nouveau sigle qui fleurit dans les colloques et autres rencontres professionnelles. Et pour ne rien simplifier, cet acronyme est en fait le diminutif du "dispositif d’appui à la population et aux professionnels pour la coordination des parcours de santé complexes".

Guichet unique

Créés par la loi santé de juillet 2019, ces DAC ont vocation, d’ici trois ans, à regrouper les différents dispositifs de coordination déjà existants : Maia, plateformes territoriales d'appui (PTA), réseaux de santé… Le principe ? Mettre en place un guichet unique dédié à la coordination des parcours complexes, quels que soient l'âge et la pathologie de la personne. Alors que la loi est peu directive sur les modalités de mise en œuvre, les ARS, à la manœuvre pour accompagner cette transformation, lancent le mouvement… à leur rythme et avec leurs méthodes [1].

Partir de l'existant