Une étude du Centre national de ressources et d’appui aux conseils locaux de santé mentale (CLSM), parue le 15 octobre, dresse un bilan plutôt positif de l'expérience de la crise sanitaire par ces structures.
Sept conseils sur dix sont restés actifs lors du premier confinement, et plus de neuf sur dix lors du second, avec un fonctionnement identique aux périodes antérieures à la crise, voire meilleur pour près de la moitié des structures.
Conçus comme des espaces de coordination entre acteurs de la santé mentale, la crise a conduit les CLSM à adapter leurs missions. Dans un certain nombre de territoires, ils ont été amenés « à se positionner directement en soutien des professionnels et de leur santé mentale », notamment via la mise en place de plateformes d'écoute et l'organisation de moments de rencontres.
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