Le Groupement national de coopération handicaps rares (GNCHR), soutenu par une vingtaine d'associations, formule des propositions pour lancer un plan de développement de la communication alternative améliorée (CAA). Il milite pour "l'acculturation" du secteur médico-social à cette pratique.
« Il est temps de mettre la communication alternative et améliorée (CAA) en haut de l’agenda politique », avance le Groupement national de coopération handicaps rares (GNCHR), soutenu par plus de 20 grands réseaux associatifs (dont APF France handicap, la Fédération Apajh, la Fisaf, Paralysie cérébrale France, l’Uniopss…).
Promesse du CIH
Alors que, lors du comité interministériel du handicap (CIH) du 5 juillet 2021, le Premier ministre s’était engagé à « aller vers la généralisation » de cette démarche, il reste encore « beaucoup à entreprendre (…) pour permettre à toutes les personnes ayant des troubles complexes de la communication d’y avoir accès », déplorent les associations.