« Depuis ce week-end, nous ne pouvons que penser à nos concitoyens mahorais qui font face à une catastrophe naturelle, qui laisse aujourd’hui de graves séquelles autant humaines, malheureusement, que matérielles », déplore Jean-Louis Garcia, président de la Fédération Apajh, quelques jours après le passage du cyclone Chido qui a durement touché Mayotte.
Gestionnaire de plusieurs établissements ou dispositifs sur l'île, la fédération « met en place un plan d'urgence ». En premier lieu, elle tente de contacter directement les professionnels de toutes ses structures mahoraises par SMS.
En outre, une adresse mail spécifique a été créée pour recueillir les besoins des établissements et services, « et envisager des solutions à court, moyen et long terme ».
Une cellule psychologique sera opérationnelle « dans les meilleurs délais pour accompagner tous ceux qui en ressentent le besoin ».
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