Le 25 septembre, à l’initiative de la Fédération des acteurs de la solidarité, des professionnels du social et de la culture ont réfléchi à leur collaboration en faveur de l’accompagnement des personnes vulnérables. D’autant que les actions culturelles bénéficient aussi aux travailleurs sociaux, selon une enquête publiée par la fédération à cette occasion.
Comment la culture peut-elle contribuer à l’accompagnement social des personnes en situation de précarité ? C’est autour de cette question que la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) a réuni, le 25 septembre à Paris, des professionnels du social et de la culture.
Objectifs : comprendre comment la culture s’inscrit dans les parcours d’accompagnement et explorer les façons dont les professionnels des deux champs peuvent travailler ensemble.
Mais d’abord, qu’entend-on par « culture » ? « La définition que nous portons vise à aller au-delà de la consommation artistique », prévient Frédéric Bauer, administrateur de la FAS et président du Groupe culture de la fédération. Ainsi, « la culture est ce qui distingue un individu ou un groupe humain d’un autre, c’est ce qui fonde les identités », poursuit-il.