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Article01 février 2022
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Pas de convergence des luttes entre travailleurs sociaux et employeurs

Plusieurs syndicats ont appelé à amplifier la mobilisation dans l’action sociale et médico-sociale, ce 1er février, pour obtenir « 183 euros pour tous ». Mais pas question pour eux de rejoindre les employeurs déjà réunis pour les « métiers de l’humain ».

L’appel avait été lancé dans la foulée des nombreux défilés du 7 décembre dernier : « Continuons et amplifions notre visibilité en organisant une grève nationale encore plus forte du social et du médico-social le 1er février. » Dans le public, comme dans le privé, le rendez-vous a depuis été relayé, par des syndicats, notamment CGT ou Solidaires, ainsi que par des collectifs, réunis dans les Rencontres nationales du travail social en lutte.  

183 euros pour tous

Pour cet « acte 2 », bien sûr, les revendications restent semblables, à travers les quelque 75 lieux de mobilisations recensés, de Nice jusqu’à Morlaix (Finistère) : « Fin des contrats précaires », « revalorisations des métiers du social et du médico-social », « budgets à la hauteur des besoins »… Le tout premier cri de ralliement, néanmoins, s’adresse aux « oubliés du Ségur », avec une demande de « 183 euros pour toutes et tous sans contrepartie, pour un rattrapage général de 300 euros »

Un relais de l'Uniopss