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Article17 octobre 2019
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La complémentaire santé solidaire en cinq points clés

Le gouvernement a lancé une campagne de communication visant à promouvoir la complémentaire santé solidaire, qui se substitue au 1er novembre 2019 à la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et l'aide au paiement d'une complémentaire santé (ACS).

Le 1er novembre 2019, la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) sera étendue aux bénéficiaires de l’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS) – qui disparaît – et deviendra la « complémentaire santé solidaire ».

Afin de la faire connaître et inciter les publics éligibles à se renseigner, une « vaste campagne d’information » a débuté le 15 octobre. Ce même jour, Agnès Buzyn (ministre des Solidarités et de la Santé) et Christelle Dubos (sa secrétaire d’État) ont, lors d’une conférence de presse, présenté cette nouvelle complémentaire santé solidaire « plus simple, plus large et plus protectrice pour un meilleur accès aux soins ».

Pour les actuels bénéficiaires de la CMU-C, la complémentaire santé solidaire ne change rien. En revanche, elle offre de nombreux avantages pour les actuels bénéficiaires de l’ACS.

Présentation en cinq points de cette « nouvelle » complémentaire.

1. Des plafonds de ressources inchangés

La complémentaire santé solidaire est attribuée aux personnes travaillant ou résidant en France de manière stable et régulière et dont les ressources sont inférieures à certains plafonds qui restent inchangés. Pour une personne seule, ce plafond est égal à 1 007 € par mois (plafond de l’ACS).