Dans une récente lettre à son réseau, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) détaille les modalités de déclinaison de ses priorités en matière de petite enfance et de soutien au répit parental.
Trois axes sont retenus, pour lesquels une enveloppe de 6 millions d'euros est budgétée pour 2022 :
- le développement des solutions « pour lever les freins périphériques à l'emploi » (crèches « à vocation d'insertion professionnelle », solutions pour les horaires atypiques...) ;
- la mise en place d'actions facilitant la transition vers l'école maternelle (dispositifs « passerelles » favorisant une séparation progressive avec la famille, classes de très petite section...) ;
- le soutien aux solutions de répit parental (lieux d'accueil parents-enfants, relais parentaux...).
Des objectifs à prendre en compte lors de l’élaboration des schémas départementaux des services aux familles.
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