Selon le juge administratif, le maintien du niveau de financement des services d'aide à domicile (Saad) tout au long de l'état d'urgence sanitaire se justifie, notamment, par la nécessité de préserver l'offre et d'assurer la pérennité de la prise en charge des bénéficiaires.
Le Conseil d'État a rejeté, le 31 décembre, un recours formé à l'encontre de l'ordonnance du 25 mars 2020 relative aux adaptations des règles d'organisation et de fonctionnement des établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) dans le cadre de la crise sanitaire.